Machine Learning ou Deep Learning ?

Machine Learning ou Deep Learning ?

L’intelligence artificielle est rendue possible par plusieurs concepts. Les deux plus importants sont le Machine Learning en ce qui concerne l’apprentissage automatique et le Deep Learning en ce qui concerne l’apprentissage profond. Bien qu’il s’agisse de deux méthodes différentes, ces deux termes sont souvent confondus.

Qu’est-ce que le machine learning ?

C’est une technologie connue pour son ancienneté et sa simplicité. Cette technologie est déployée par le biais d’un système algorithmique qui s’adapte automatiquement en fonction des retours faits par l’utilisateur. En termes simples, la machine apprend sans programmation. Une condition essentielle pour sa mise en œuvre est l’existence de données organisées. Ensuite, la structuration et la catégorisation des données serviront à alimenter le système. Cela lui permettra d’assimiler la classification de nouvelles données similaires. Sur cette base, le système effectue ensuite des actions.

Petit point sur le deep learning ?

Appartenant à la grande famille de l’apprentissage, le Deep Learning s’appuie sur les technologies de réseaux de neurones pour apprendre des fonctionnalités à un niveau supérieur en utilisant les informations fournies. Les données structurées ne sont pas nécessaires pour ce type d’intelligence artificielle. Inspirées du cerveau humain, il s’agit de neurones artificiels organisés en couches où chaque couche contribue à alimenter la couche suivante et permet d’ajuster le modèle mathématique sous-jacent. Les données non structurées ne sont pas un obstacle à son déploiement. Mais il est clair que le Deep learning doit s’appuyer sur un large volume d’informations/ de situations pour être performant dans la détection des similarités.

Quelle est la différence entre les deux ?

La différence entre ces deux technologies d’intelligence artificielle réside dans les résultats produits par les différents algorithmes et les méthodes d’intervention en aval. La première technologie traite des données quantitatives et structurées. Cependant, les retours de prédictions inexactes nécessitent l’intervention d’un ingénieur pour d’éventuels ajustements. En revanche, la seconde, le modèle Deep Learning, dispose d’algorithmes capables de déterminer l’exactitude d’une prédiction sans intervention humaine. Le Deep Learning est aujourd’hui quasiment incontournable dans la reconnaissance de forme, le traitement du langage naturel (NLP), la construction d’un bot ou encore le diagnostic médical.

Comment savoir si votre projet est adapté au Développement en Architecture Microservices ?

Comment savoir si votre projet est adapté au Développement en Architecture Microservices ?

Les applications développées en microservices procurent de nombreux avantages. Les utilisateurs jouiront entre autres d’une grande robustesse. De même, il sera plus facile de se lancer dans la maintenance, de par l’indépendance des services entre eux. Au vu des atouts, une entreprise peut envisager le projet. Elle devrait néanmoins connaître ses conditions. 

Le découpage en blocs fonctionnels

Le principe fondamental d’une architecture microservices est que chaque micro service répond à une fonctionnalité métier, et une seule. Il y a donc un découpage en blocs fonctionnels à faire de l’application à réaliser. Plus le projet est d’importance, plus ce découpage, à condition qu’il soit bien fait (pas ou peu d’interdépendance), accélère l’indépendance du développement, du test et du déploiement de ces microservices. La question peut se poser sur des projets de petite taille.

Beaucoup de microservices = gestion plus complexe ?

La question peut être posée dès lors que l’application finale se constitue de beaucoup de microservices, dont il faut gérer leur intégration et leur répartition dans une architecture physique capable de digérer l’exécution parallélisée de ses microservices. Dans l’hypothèse où il existe des dépendances entre les services, les mises à jour des services peuvent être source de complexité tant sur le plan des tests (pour revérifier une chaîne de microservices dépendants) que sur le plan du déploiement.

Une infrastructure adéquate

La gestion de la mémoire avec une mise en cache, une architecture distribuée restent des points cruciaux dans la mise en place d’une application orientée microservices. Par ailleurs, à l’heure où toutes les entreprises sont concernées par la cybersécurité, un nombre important de microservices peut accroitre une vulnérabilité face à la menace. Il y a donc un travail important de dimensionnement des ressources physiques, et de vérification des potentielles défaillances au niveau de chaque service.

Certaines peuvent être de haut niveau et abstraites, lorsqu’une personne utilise par exemple une remarque sarcastique pour transmettre une information. Pour bien saisir le langage humain, il faut comprendre non seulement les mots, mais aussi comment les concepts sont reliés pour transmettre le message souhaité.

Pourquoi utiliser un chatbot ?

Pourquoi utiliser un chatbot ?

Savez-vous ce qu’est un chatbot ? Ce programme informatique, doté d’une intelligence artificielle, est capable d’interagir avec les clients. Il simule une conversation tel un être humain avec un langage naturel et une personnalité à l’image de l’entreprise. L’usage du chatbot est en plein essor, mais pourquoi l’utiliser ?

Le chatbot l’allié du service client

Le service clientèle est souvent occupé à répondre aux mêmes interrogations, gérer des problèmes de commande ou rechercher un renseignement. Généralement, les informations sont présentes dans la FAQ du site. Le chatbot est l’outil idéal pour accomplir des tâches répétitives et chronophages :

  • Il répond instantanément aux questions simples ;
  • Pour les cas complexes, il récoltera les éléments de base d’un ticket pour faciliter l’intervention de l’équipe ;
  • Il est accessible 24 h/24 et 7 j/7 et sans aucune file d’attente ;
  • Il fonctionne sur tous les supports : téléphones, tablettes, ordinateurs, sur les réseaux sociaux et les sites internet.

Grâce au travail du bot, le service après-vente gagne en disponibilité pour se consacrer à des problèmes plus délicats et apporter une vraie valeur ajoutée.

Le chatbot plus qu’un simple agent conversationnel 

Lorsqu’une personne commence une discussion dans le chatbot, il démontre son intérêt pour les produits présentés ou l’entreprise. Le bot pourra accompagner l’utilisateur, lui demander ce qu’il souhaite, réagir de façon pertinente, proposer des remises, suggérer l’inscription à la newsletter. Il peut adapter ses réactions en fonction de l’historique de l’internaute. En offrant une expérience client complète et personnalisée, il va aider à convertir le visiteur en prospect et faciliter ses futurs achats.

Correctement configuré, le chatbot deviendra un réel atout pour répondre et satisfaire les besoins clients. Il est toujours réactif et disponible de jour comme de nuit. Le chatbot est un véritable assistant virtuel. Au quotidien, le bot peut être un gain de temps et d’argent pour les entreprises.

Ainsi, les chatbots sont utilisés par de plus en plus de secteurs comme on peut le voir avec Ouibot, le chatbot de la SNCF.