Quel est le rôle de l’AMOA dans le secteur informatique ?

Quel est le rôle de l’AMOA dans le secteur informatique ?

Les principaux secteurs concernés par l’AMOA

La réussite d’un projet dépend en grande partie de la manière dont la maîtrise d’ouvrage exprime ses besoins auprès d’une maîtrise d’œuvre (MOE). Pour cela, il peut être amené à recourir à une assistance à maîtrise d’ouvrage. Les entreprises évoluant dans le secteur informatique font souvent appel à ce type de profil mais d’autres secteurs peuvent faire appel à un AMOA comme celui du BTP dont le métier est originaire.

Qu’est-ce que l’assistance à maîtrise d’ouvrage dans le secteur informatique ?

L’Assistance à Maîtrise d’Ouvrage (AMOA) désigne l’accompagnement d’un responsable métier dans la mise en place et la réalisation d’un projet informatique jusqu’à l’exploitation du produit (logiciel) qui en découle. Il intervient dans la phase d’étude, d’élaboration, de livraison du produit fini et même après la phase de livraison (recette). Vous êtes un responsable métier dans une entreprise (comptabilité, ressources humaines, etc.) et vous souhaitez mettre sur pied un projet informatique pour votre entreprise ? Vous pouvez recourir au service d’un consultant en AMOA.

Quelles sont les qualités d’un AMOA ?

Dans le secteur informatique, le consultant AMOA assure le lien entre tous les acteurs concernés par le projet, à savoir : les architectes, les consultants informatiques qui travaillent sur le projet ainsi que les équipes de réalisation. Il est le garant de la bonne traduction du besoin exprimé par le métier. Grâce à ses compétences souvent doubles (techniques et fonctionnelles), il peut tenir le rôle d’un chef de projet. En effet, il dispose d’une connaissance solide sur les méthodologies et les contraintes d’un projet informatique. En somme, c’est un professionnel polyvalent.

La transformation de l’AMOA vers le métier de Product Owner

De plus en plus souvent, les entreprises organisent leurs projets informatiques selon une méthode Agile, telle que Scrum. Ces méthodes mettent avant le concept d’itérations rapides et successives afin de permettre de dégager le maximum de valeur des développements. Dans ces entreprises, les AMOA prennent souvent le rôle de Product Owner. Le rôle du Product Owner est proche de celui d’AMOA mais le Product Owner doit prendre en compte les itérations de son équipe, également appelées « sprints » grâce à la gestion d’un « backlog » qui contient la liste des sujets à développer, par ordre de priorité.

Pourquoi la Recherche et Développement au sein d’une entreprise est obligatoire aujourd’hui ?

Pourquoi la Recherche et Développement au sein d’une entreprise est obligatoire aujourd’hui ?

Qu’est-ce que la recherche et développement (R&D)?

Pour l’entreprise, la stratégie R&D repose sur plusieurs axes. En premier lieu, il s’agit d’effectuer une veille technologique, dont les ingénieurs R&D sont en charge, qui la tient informée de ce que font ses concurrents. En second lieu, il s’agit de développer de nouvelles offres propres à séduire et à apporter de la valeur ajoutée à ses clients actuels et à en attirer de nouveaux. Les ingénieurs R&D ont à ce niveau un rôle prépondérant à jouer. C’est sur eux, sur leur vision, leur capacité à se projeter dans l’avenir et sur leur créativité que repose la capacité innovatrice de l’entreprise et donc la prise potentielle de parts de marché.

La recherche et développement, facteur de croissance économique

La recherche et développement est un enjeu majeur de l’économie. Source d’innovation, elle permet à l’entreprise de proposer à ses clients des produits nouveaux. Elle se démarque ainsi de ses concurrents et renforce sa position dans un secteur donné. La R&D garantit à la fois la pérennité de l’entreprise mais aussi sa croissance. Particulièrement si l’entreprise évolue dans un secteur de pointe où les connaissances et la technologie évoluent sans cesse, la R&D est un service dont aujourd’hui elle ne peut se passer.

La recherche et développement, un service coûteux

La première caractéristique d’un service R&D est que non seulement il ne produit aucune valeur ajoutée mais qu’en plus il est coûteux. Dans un contexte de concurrence et de difficultés économiques, il pourrait être tentant pour l’entreprise de s’en séparer. Si sur le court terme et d’un point de vue comptable, l’effet est visible, il n’en reste pas moins que sur le moyen ou le long terme cette décision est dévastatrice. Privée de nouveaux produits, l’entreprise voit ses clients partir à la concurrence et son chiffre d’affaires chuter de telle façon que très vite son avenir même est en jeu.

Quelles sont les tendances des Smart Cities à l’horizon 2025

Quelles sont les tendances des Smart Cities à l'horizon 2025

De nombreuses villes espèrent devenir des smart cities ou villes intelligentes en exploitant les nouvelles technologies à l’instar de lintelligence artificielle, de l’internet des objets (loT) et du big data. Quelles tendances se dessinent pour les prochaines années ?

Smart city : prévisions

Les analystes de l’Indice de Disparité de la Consommation (IDC) prédisent qu’en 2025 90 % des villes émergentes ainsi que 10 % des villes déjà présentes à l’échelle mondiale utiliseront des possibilités de planifications d’espaces numériques et des nouvelles régulations afin de bénéficier des avantages de l’économie de partage. Ces analystes insistent sur l’importance que revêtent la réactivité des villes et leur politique numérique en ce qui concerne le changement climatique.

Défis à relever

Les lignes de force, bases de la réflexion des analystes, sont, d’une part, le défaut d’information et de compétence souvent en lien avec un manque de trésorerie. Le deuxième aspect est celui de la cybercriminalité qui paraît aller de pair avec la mise en place de nouvelles technologies connectées.

Le rapport de l’Observatoire de la vie connectée décrit la smart city en tant que marché prometteur. Alors qu’en 2016 il était évalué à 773 milliards de dollars, il devrait afficher une croissance annuelle, sur la période s’étendant de 2017 à 2025, de 20 % pour atteindre, en 2025, 3651 milliards de dollars.

Protocole à venir

Nos véhicules tendent à devenir de plus en plus autonomes et bavards. Nous devrons bientôt opter pour un protocole de communication : véhicule-to-infrastructure ou 5G ?

Au final, tout reste à faire et certains se mettent déjà à l’ouvrage : réseau 5G, navettes autonomes, routes munies de capteurs…

Human Horizons, réputée pour son HiPhi 1 (premier SUV électrique de série), a dévoilé fin 2019 sa conception de la smart city. La société projette de construire une ville intelligente en Chine dans une zone de 100 000 m2 dans un parc technologique de Shanghai.

Par ailleurs, une étude réalisée par Grand View Research prévoit que le marché mondial des transports intelligents atteindra les 285 milliards USD d’ici l’année 2024, enregistrant ainsi un taux de croissance de 22,5 % durant la période de prévision.

Nous vous proposons des solutions autour de la transformation digitale dans les systèmes d’information dans divers domaines. Découvrez nos expertises sans plus attendre !

Transformation digitale dans le ferroviaire, comment adapter les structures à ce nouveau mode de fonctionnement ?

Transformation digitale dans le ferroviaire, comment adapter les structures à ce nouveau mode de fonctionnement ?

Aucun secteur n’échappe à la transformation digitale à l’instar de l’industrie ferroviaire. Quelques petites informations pour vous mettre sur les rails.

La digitalisation, pourquoi ?

La transformation digitale est une étape nécessaire au développement du secteur ferroviaire ainsi que de ses divers acteurs. De la planification sur le long terme aux tâches quotidiennes, elle devrait être bénéfique aux entreprises (réduction des coûts), aux clients, mais aussi contribuer à améliorer la compétitivité du train face aux autres moyens de transport. La digitalisation contribue à apporter des améliorations incontestables et un grand choix d’opportunités pour exploiter les trains afin de faire évoluer le modèle économique des entreprises en activité et de favoriser l’arrivée de nouveaux acteurs ayant des approches disruptives.

Acteurs concernés

La digitalisation du ferroviaire dépasse amplement le domaine des passagers (wifi, billets électroniques) mais concerne tous les acteurs de la chaîne :

  • Entreprises ferroviaires (transport des passagers et du fret),
  • Fournisseurs d’équipements,
  • Constructeurs des matériels roulants,
  • Gestionnaires d’infrastructures,
  • Entités chargées de la maintenance,
  • Entités publiques, etc.).

Technologies utilisées

La transformation digitale se base principalement sur l’usage des technologies de l’information et de la communication (TIC) dans le but de collecter, traiter, transmettre les données et instaurer un réseau de communication pour les usagers du ferroviaire. Ces technologies digitales incluent essentiellement :

  • des capteurs destinés aux matériels roulants et aux infrastructures,
  • des caméras vidéo (surveillance embarquée et au sol),
  • des systèmes de communication et d’affichage des informations,
  • des outils pour transmettre les données dans les trains, gares et infrastructures,
  • des appareils mobiles (smartphones et tablettes).

Ces outils entraînent un grand nombre de données dynamiques et induisent une communication entre divers objets nantis de capteurs. On parle d’Internet des objets (IOT).

La plupart des technologies requises sont déjà disponibles et ne demandent qu’à être renforcées pour répondre aux difficiles conditions d’exploitation des trains. Les actuels développements technologiques concernent la communication sans fil avec haut débit et les solutions ayant une faible consommation d’énergie pour une meilleure autonomie et une augmentation de la durée de vie du matériel.

Nous intervenons auprès des systèmes d’information, systèmes embarqués et plans de voie (et outils CAO) autour du transport ferroviaire. Découvrez nos expertises sans plus attendre !