Pourquoi la Recherche et Développement au sein d’une entreprise est obligatoire aujourd’hui ?

Pourquoi la Recherche et Développement au sein d’une entreprise est obligatoire aujourd’hui ?

Qu’est-ce que la recherche et développement (R&D)?

Pour l’entreprise, la stratégie R&D repose sur plusieurs axes. En premier lieu, il s’agit d’effectuer une veille technologique, dont les ingénieurs R&D sont en charge, qui la tient informée de ce que font ses concurrents. En second lieu, il s’agit de développer de nouvelles offres propres à séduire et à apporter de la valeur ajoutée à ses clients actuels et à en attirer de nouveaux. Les ingénieurs R&D ont à ce niveau un rôle prépondérant à jouer. C’est sur eux, sur leur vision, leur capacité à se projeter dans l’avenir et sur leur créativité que repose la capacité innovatrice de l’entreprise et donc la prise potentielle de parts de marché.

La recherche et développement, facteur de croissance économique

La recherche et développement est un enjeu majeur de l’économie. Source d’innovation, elle permet à l’entreprise de proposer à ses clients des produits nouveaux. Elle se démarque ainsi de ses concurrents et renforce sa position dans un secteur donné. La R&D garantit à la fois la pérennité de l’entreprise mais aussi sa croissance. Particulièrement si l’entreprise évolue dans un secteur de pointe où les connaissances et la technologie évoluent sans cesse, la R&D est un service dont aujourd’hui elle ne peut se passer.

La recherche et développement, un service coûteux

La première caractéristique d’un service R&D est que non seulement il ne produit aucune valeur ajoutée mais qu’en plus il est coûteux. Dans un contexte de concurrence et de difficultés économiques, il pourrait être tentant pour l’entreprise de s’en séparer. Si sur le court terme et d’un point de vue comptable, l’effet est visible, il n’en reste pas moins que sur le moyen ou le long terme cette décision est dévastatrice. Privée de nouveaux produits, l’entreprise voit ses clients partir à la concurrence et son chiffre d’affaires chuter de telle façon que très vite son avenir même est en jeu.

Quelles sont les tendances des Smart Cities à l’horizon 2025

Quelles sont les tendances des Smart Cities à l'horizon 2025

De nombreuses villes espèrent devenir des smart cities ou villes intelligentes en exploitant les nouvelles technologies à l’instar de lintelligence artificielle, de l’internet des objets (loT) et du big data. Quelles tendances se dessinent pour les prochaines années ?

Smart city : prévisions

Les analystes de l’Indice de Disparité de la Consommation (IDC) prédisent qu’en 2025 90 % des villes émergentes ainsi que 10 % des villes déjà présentes à l’échelle mondiale utiliseront des possibilités de planifications d’espaces numériques et des nouvelles régulations afin de bénéficier des avantages de l’économie de partage. Ces analystes insistent sur l’importance que revêtent la réactivité des villes et leur politique numérique en ce qui concerne le changement climatique.

Défis à relever

Les lignes de force, bases de la réflexion des analystes, sont, d’une part, le défaut d’information et de compétence souvent en lien avec un manque de trésorerie. Le deuxième aspect est celui de la cybercriminalité qui paraît aller de pair avec la mise en place de nouvelles technologies connectées.

Le rapport de l’Observatoire de la vie connectée décrit la smart city en tant que marché prometteur. Alors qu’en 2016 il était évalué à 773 milliards de dollars, il devrait afficher une croissance annuelle, sur la période s’étendant de 2017 à 2025, de 20 % pour atteindre, en 2025, 3651 milliards de dollars.

Protocole à venir

Nos véhicules tendent à devenir de plus en plus autonomes et bavards. Nous devrons bientôt opter pour un protocole de communication : véhicule-to-infrastructure ou 5G ?

Au final, tout reste à faire et certains se mettent déjà à l’ouvrage : réseau 5G, navettes autonomes, routes munies de capteurs…

Human Horizons, réputée pour son HiPhi 1 (premier SUV électrique de série), a dévoilé fin 2019 sa conception de la smart city. La société projette de construire une ville intelligente en Chine dans une zone de 100 000 m2 dans un parc technologique de Shanghai.

Par ailleurs, une étude réalisée par Grand View Research prévoit que le marché mondial des transports intelligents atteindra les 285 milliards USD d’ici l’année 2024, enregistrant ainsi un taux de croissance de 22,5 % durant la période de prévision.

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Transformation digitale dans le ferroviaire, comment adapter les structures à ce nouveau mode de fonctionnement ?

Transformation digitale dans le ferroviaire, comment adapter les structures à ce nouveau mode de fonctionnement ?

Aucun secteur n’échappe à la transformation digitale à l’instar de l’industrie ferroviaire. Quelques petites informations pour vous mettre sur les rails.

La digitalisation, pourquoi ?

La transformation digitale est une étape nécessaire au développement du secteur ferroviaire ainsi que de ses divers acteurs. De la planification sur le long terme aux tâches quotidiennes, elle devrait être bénéfique aux entreprises (réduction des coûts), aux clients, mais aussi contribuer à améliorer la compétitivité du train face aux autres moyens de transport. La digitalisation contribue à apporter des améliorations incontestables et un grand choix d’opportunités pour exploiter les trains afin de faire évoluer le modèle économique des entreprises en activité et de favoriser l’arrivée de nouveaux acteurs ayant des approches disruptives.

Acteurs concernés

La digitalisation du ferroviaire dépasse amplement le domaine des passagers (wifi, billets électroniques) mais concerne tous les acteurs de la chaîne :

  • Entreprises ferroviaires (transport des passagers et du fret),
  • Fournisseurs d’équipements,
  • Constructeurs des matériels roulants,
  • Gestionnaires d’infrastructures,
  • Entités chargées de la maintenance,
  • Entités publiques, etc.).

Technologies utilisées

La transformation digitale se base principalement sur l’usage des technologies de l’information et de la communication (TIC) dans le but de collecter, traiter, transmettre les données et instaurer un réseau de communication pour les usagers du ferroviaire. Ces technologies digitales incluent essentiellement :

  • des capteurs destinés aux matériels roulants et aux infrastructures,
  • des caméras vidéo (surveillance embarquée et au sol),
  • des systèmes de communication et d’affichage des informations,
  • des outils pour transmettre les données dans les trains, gares et infrastructures,
  • des appareils mobiles (smartphones et tablettes).

Ces outils entraînent un grand nombre de données dynamiques et induisent une communication entre divers objets nantis de capteurs. On parle d’Internet des objets (IOT).

La plupart des technologies requises sont déjà disponibles et ne demandent qu’à être renforcées pour répondre aux difficiles conditions d’exploitation des trains. Les actuels développements technologiques concernent la communication sans fil avec haut débit et les solutions ayant une faible consommation d’énergie pour une meilleure autonomie et une augmentation de la durée de vie du matériel.

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Pourquoi concevoir une architecture logicielle en microservices ?

Pourquoi concevoir une architecture logicielle en microservices ?

L’architecture logicielle décrit les différents éléments d’une application et leurs intentions. La conception de l’architecture est donc une étape particulièrement cruciale du développement logiciel. De cette phase, va dépendre non seulement la stabilité, la robustesse ou encore la scalabilité d’une application, mais également le rapport coût /efficacité.

Les objectifs de la structure en microservices

Depuis toujours, les deux objectifs principaux de toute architecture logicielle sont la réduction des coûts et l’augmentation de la qualité du logiciel ; jusqu’à présent, la réduction des coûts était principalement réalisée par la réutilisation de composants logiciels et par la diminution du temps de maintenance (correction d’erreurs et adaptation du logiciel). Quant à la qualité, cela s’exprimait à travers un ensemble de critères dont l’efficacité, la pérennité, la stabilité et l’interopérabilité. S’ajoutent aujourd’hui 2 nouvelles questions :  Comment réduire les empêchements au changement ? Et comment libérer les développeurs des contraintes de la complexité et du déploiement ?

Principes de l’Architecture microservices

Les applications logicielles étant de plus en plus gourmandes en consommation de ressources physiques des machines sur lesquelles elles s’exécutent, les entreprises utilisatrices doivent faire face à des coûts d’infrastructures plus importants, des problèmes éventuels de performances, ainsi qu’à des coûts de maintenabilité. C’est pourquoi, depuis quelques années, la conception logicielle s’oriente vers une architecture Microservices (évolution de l’architecture SOA – Services Oriented Architecture).

Cette approche propose une solution extrêmement simple : une application logicielle voit son code découpé en modules fonctionnels ou techniques appelés microservices, parfaitement indépendants et donc autonomes, qui exposent une API REST (Application Programming Interface) permettant ainsi aux autres microservices de les consommer si besoin. Cela sous-entend que chaque microservice doit avoir son modèle de données de domaine et sa logique de domaine associés (souveraineté et gestion des données décentralisée). Il peut être basé sur différentes technologies de stockage de données (SQL, NoSQL) et sur différents langages de programmation.

Microservices, que des avantages ?

Les microservices affichent normalement une plus grande maintenabilité dans les systèmes d’informations complexes et hautement scalables, en permettant de créer des applications basées sur de nombreux services qui peuvent être déployés indépendamment, chacun ayant des cycles de vie granulaires et autonomes. On ne déploie plus une application monolithique mais seulement les services modifiés.

Autre avantage, les microservices peuvent monter en charge (scale out) de façon indépendante. Ainsi, vous pouvez effectuer un scale-out ciblé de la zone fonctionnelle qui nécessite plus de puissance de traitement ou plus de bande passante réseau pour satisfaire la demande, au lieu d’effectuer un scale-out d’autres zones de l’application qui n’en ont pas besoin.Par conséquent , les ressources physiques sont ajustables.

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