Critères d’éligibilité d’un BRMS

Critères d’éligibilité d’un BRMS

Aux origines du BRMS (moteur de règles)

La technologie des moteurs de règles / BRMS ne date pas d’hier. Née sous l’impulsion des américains dans les années 70 avec notamment la conception et de l’algorithme de RETE, elle a connu ses premières gloires début des années 80 sous l’appellation des systèmes experts. Le moteur de règle est une technologie ayant considérablement évolué, en traversant des années plus creuses (les années 90) avant de rebondir, au début de la bulle Internet, en solution technologique de Business Rules Management System (BRMS).

Ainsi, aujourd’hui, une vingtaine d’éditeurs postulent sur ce segment technologique, pour la plupart américains. Pour autant, il s’agit pour les clients d’apprécier la pertinence ou non de l’usage d’un BRMS pour répondre à la problématique métier qui est la leur.

Alors, comment apprécier cette pertinence ?

Le BRMS en quelques mots

Tout d’abord, il s’agit de transposer la logique métier, historiquement codée dans le patrimoine informatique des entreprises ou issue de l’expertise humaine, en règles communément appelées règles SI ALORS. Néanmoins, le SI contient les conditions qui doivent être évaluées à VRAI pour que la règle soit éligible au déclenchement. Une règle éligible s’exécute, c’est-à-dire que le moteur de règles exécute les actions contenues dans la partie ALORS de la règle. Une règle exécutée peut permettre potentiellement qu’une autre règle devienne éligible et ainsi de suite.

Ainsi, un raisonnement logique apparait par le déclenchement successif des règles éligibles.

Voici un exemple :

Par ailleurs, certains éditeurs fournissent en réalité 3 représentations possibles de la logique métier : les règles, les tables de décision (qui s’apparentent à une table de feuille Excel) et des arbres de décision.

Au final, l’objectif d’une technologie BRMS est bien d’améliorer la lisibilité de la logique métier répartie dans les applicatifs du SI et de permettre ainsi une meilleure maintenabilité de cette logique en créant une indépendance entre le contenu d’un ensemble de règles (service de règles) et la manière dont on le consomme au sein du SI.

Comment évaluer la pertinence ou non d’un BRMS ?

Malgré les avantages énoncés du BRMS, son usage n’est pas systématiquement pertinent au regard du contexte et de la problématique des entreprises qui se poseraient la question de l’utiliser.

De ce fait, il s’agit de vérifier un certain nombre de critères d’appréciation qui sont résumés ici :

La démarche de Pacte Novation est axée autour de la réalisation d’ateliers avec les différents acteurs partie prenante dans le futur projet, l’analyse et la retranscription des éléments recueillis durant ces ateliers, la rédaction de notes, et la restitution/présentation des conclusions aux instances de décision du client.

En tout état de cause, la clé du succès d’un projet BRMS est d’abord et avant tout, l’adhésion à cette technologie de toutes les parties prenantes du projet.

Nous vous proposons des solutions autour du système d’information, système expert, embarqué et édition de logiciels,  nous permettant de répondre à la plupart des exigences du marché. 

Pourquoi est-il important de se former au développement de logiciels ?

Pourquoi est-il important de se former au développement de logiciels ?

Certains secteurs professionnels ont connu un réel essor ces dernières années. Le développement logiciel en fait partie. Il existe une kyrielle de raisons pour lesquelles il est important et utile de se former à cette discipline. Les voici :

Un domaine d’activité qui embauche à tour de bras

La crise de la COVID-19 nous a montré la fragilité et la volatilité de certains secteurs professionnels. Nombreux sont les travailleurs qui ont perdu leur poste ou vu une diminution substantielle de leur salaire. Certains domaines d’activité ont néanmoins échappé à cette fatalité. Parmi eux figure le développement logiciel. Cela s’explique aisément : la demande y est largement supérieure à l’offre. En effet, avec l’utilisation croissante des applications mobiles sur tous types de supports et la transformation numérique des entreprises, beaucoup d’organisations ont recours aux services des “professionnels du langage informatique”.

Ce secteur est aussi l’un des rares où la compétence prime sur le diplôme. Ainsi, vous pouvez très bien vous faire une belle place dans le métier sans être bardé de titres prestigieux. À vous de jouer !

Élargir son spectre de compétences

Se former au métier de développeur logiciel, c’est acquérir de nouvelles compétences très utiles tout au long de sa vie professionnelle. Dans un premier temps, cela vous permet de vous familiariser avec les concepts de la programmation et de développer une nouvelle forme d’esprit algorithmique. En effet, en développant des logiciels, vous apprenez à déployer votre logique d’une autre manière. D’autre part, cette discipline renforce l’imagination et la créativité des pratiquants. À force d’être confronté à certains types de problèmes, vous apprenez à trouver des solutions innovantes et contre-intuitives.

Comme développeur logiciel, vous acquérez également une analyse de risque plus fine. Vous apprenez à identifier les difficultés techniques ou liées au timing de votre projet, ainsi que les failles dans la configuration organisationnelle. Cette compétence en analyse de risque sera ensuite valorisée dans toute forme de gestion de projet.

Le Data Lab, une stratégie de fidélisation et de notation au cœur de votre business model

Le Data Lab, une stratégie de fidélisation et de notation au cœur de votre business model

Qu’est-ce que le Data Lab ?

Le datalab est une stratégie de marketing qui permet d’améliorer sa relation et la fidélisation de sa clientèle. Cette technique prend en considération l’ensemble du comportement des clients en analysant ses habitudes de consommation vis-à-vis d’un produit en particulier. L’objectif de cette stratégie est d’apporter des solutions et réponses concrètes face à la demande qui se diversifie et qui augmente en même temps. Le datalab est une solution marketing que l’on peut utiliser seul ou coupler avec d’autres stratégies s’inscrivant dans le même champ.

L’objectif premier est de gagner du temps et de réaliser de bons scores. Pour avoir une visibilité sur les habitudes des consommateurs, le datalab évalue chaque client sur son intérêt pour un produit en particulier, sur ses fréquences d’achat et anticipe son comportement sur le court, moyen et long terme face à un produit de la même catégorie.

Comment fidéliser sa clientèle avec le Data Lab ?

Un client sera fidèle à un produit ou à une marque non pas parce qu’il l’aime, mais plutôt par habitude. Lorsque le client est satisfait et trouve son intérêt dans l’usage d’un produit en particulier, il s’instaure une routine qu’il ne souhaite pas briser. En effet, pourquoi changer ses habitudes lorsque l’on a toujours agi ainsi et que cela nous convient ?

Néanmoins, on ne peut qualifier cette démarche comme de la véritable « fidélité ». On parlera plutôt d’inertie et de réticence à l’idée de briser une routine.

L’une des meilleures stratégies pour fidéliser un client consiste à se mettre à leur place. Un client pense, réfléchit et sera fidèle à ce qui lui paraît simple et utile. Il peut être intéressant de mettre en place de manière ponctuelle et modérée, en plus de l’achat de son produit préféré, une offre de fidélité (sous forme de promotion ou de cadeau).

Qu’est-ce que l’ERTMS ?

Qu’est-ce que l’ERTMS ?

Dans un monde hyper connecté, le secteur des transports connaît lui aussi son lot de nouvelles technologies intelligentes. Pour survivre et rester dans la course de la performance, l’industrie des chemins de fer doit s’adapter au changement. Avez-vous entendu parler de l’ERTMS ? C’est un système Européen de gestion du trafic ferroviaire (European Rail Traffic Management System) qui s’inscrit dans une logique d’efficacité et de développement durable, mais pourquoi est-il essentiel de respecter les normes Européennes dans le domaine ferroviaire ?

Moderniser le système d’exploitation de circulation

L’ambition Européenne est d’accélérer la transformation industrielle vers le réseau du futur. Grâce à la norme ERTMS, les serveurs informatiques communiquent entre eux via un réseau de télécommunications dédié à la voie ferrée. Ce concept innovant améliore la conduite des trains à grande vitesse et augmente la fréquence des lignes. Le voyageur bénéficie ainsi d’un service de qualité et d’une information en temps réel.

Harmoniser la signalisation des chemins de fer Européens

Au-delà des frontières, le réseau national est mieux connecté au réseau ferré Européen. Le système nouvelle génération se généralise à tous les pays de l’Union Européenne et permet ainsi d’homogénéiser la circulation entre les villes et de fluidifier les échanges frontaliers. Ce système d’exploitation des infrastructures ferroviaires apporte une meilleure maîtrise du temps et de l’espace.

Sécuriser la circulation sur les rails

Le réseau digital du futur est connecté 24h/24 et permet de garantir une sécurité maximale sur les chemins de fer. La technologie ERTMS contrôle la distance de sécurité entre les machines, transmet en temps réel les consignes de conduite, et signale les incidents. Cette solution novatrice apporte réactivité et souplesse, c’est l’assistant technologique rêvé des conducteurs et aiguilleurs du rail. La normalisation dépasse son objectif avec en prime une réduction des coûts de maintenance.

Avec cette méthode agile de régulation des trains, les défis de performance et d’innovation sont relevés. Tous les feux de signalisation passent au vert : sécurité, fiabilité, et ponctualité !

Certaines peuvent être de haut niveau et abstraites, lorsqu’une personne utilise par exemple une remarque sarcastique pour transmettre une information. Pour bien saisir le langage humain, il faut comprendre non seulement les mots, mais aussi comment les concepts sont reliés pour transmettre le message souhaité.