Pourquoi la Recherche et Développement au sein d’une entreprise est obligatoire aujourd’hui ?

Pourquoi la Recherche et Développement au sein d’une entreprise est obligatoire aujourd’hui ?

Qu’est-ce que la recherche et développement (R&D)?

Pour l’entreprise, la stratégie R&D repose sur plusieurs axes. En premier lieu, il s’agit d’effectuer une veille technologique, dont les ingénieurs R&D sont en charge, qui la tient informée de ce que font ses concurrents. En second lieu, il s’agit de développer de nouvelles offres propres à séduire et à apporter de la valeur ajoutée à ses clients actuels et à en attirer de nouveaux. Les ingénieurs R&D ont à ce niveau un rôle prépondérant à jouer. C’est sur eux, sur leur vision, leur capacité à se projeter dans l’avenir et sur leur créativité que repose la capacité innovatrice de l’entreprise et donc la prise potentielle de parts de marché.

La recherche et développement, facteur de croissance économique

La recherche et développement est un enjeu majeur de l’économie. Source d’innovation, elle permet à l’entreprise de proposer à ses clients des produits nouveaux. Elle se démarque ainsi de ses concurrents et renforce sa position dans un secteur donné. La R&D garantit à la fois la pérennité de l’entreprise mais aussi sa croissance. Particulièrement si l’entreprise évolue dans un secteur de pointe où les connaissances et la technologie évoluent sans cesse, la R&D est un service dont aujourd’hui elle ne peut se passer.

La recherche et développement, un service coûteux

La première caractéristique d’un service R&D est que non seulement il ne produit aucune valeur ajoutée mais qu’en plus il est coûteux. Dans un contexte de concurrence et de difficultés économiques, il pourrait être tentant pour l’entreprise de s’en séparer. Si sur le court terme et d’un point de vue comptable, l’effet est visible, il n’en reste pas moins que sur le moyen ou le long terme cette décision est dévastatrice. Privée de nouveaux produits, l’entreprise voit ses clients partir à la concurrence et son chiffre d’affaires chuter de telle façon que très vite son avenir même est en jeu.

La transformation digitale des entreprises au cœur des futurs business model

La transformation digitale des entreprises au cœur des futurs business model

Depuis plusieurs années, les entreprises ont amorcé une révolution profonde de leurs usages en s’appuyant de plus en plus sur les nouvelles technologies de l’information et de la communication. Certains secteurs ont même complètement adapté leur business model à la transformation digitale des entreprises et ne proposent plus que des produits et services en ligne. La crise sanitaire a encore accentué ce phénomène et crée de nouvelles opportunités de rattrapage, voire d’accélération.

Les business model de demain, entre physique et digital

L’omniprésence du web et des solutions en SaaS (Software As A Service) alliées à des méthodes de développement informatique plus agiles permettent aux entreprises d’innover et de produire dans des délais courts. Par ailleurs, les périodes de confinement ont imposé à la plupart des établissements de dématérialiser intégralement leur parcours client. Certaines TPE et PME bénéficient même d’un chèque numérique à cet effet. Ainsi, le domaine de l’UX Design explose, valorisant la fluidité de l’expérience utilisateur tout en conservant certains guichets physiques.

Le Big Data et l‘intelligence artificielle s’orientent vers l’analyse systématique des corrélations et donc de la prédictibilité des comportements, avec des cas d’usage extrêmement divers comme le ciblage publicitaire et la vente, mais aussi la lutte anti-fraude et le blanchiment de capitaux.

Quant à l’Internet des objets, ou IoT, son potentiel est encore fortement sous-évalué. La crise actuelle et le vieillissement de la population supposent une surveillance accrue des indicateurs de santé (rythme cardiaque, glycémie, pratique du sport) rendue possible par la performance des objets connectés. Le succès de la commande vocale ne se dément pas non plus.

L’expertise de Pacte Novation au service de la transformation digitale des entreprises

Les possibilités sont infinies, et seuls des profils experts peuvent vous aider à tirer le meilleur parti des technologies actuelles. Pacte Novation vous accompagne à chaque étape dans le développement de vos logiciels, la gestion de vos données, l’informatique décisionnelle, le traitement du signal pour le secteur du transport … dans le respect des coûts et des délais. Votre réussite est notre succès, construisons-la ensemble !

Reconnaissance vocale de locuteurs : Comment, pourquoi

La reconnaissance vocale de locuteurs : comment et pourquoi

Reconnaitre une personne par sa voix est de plus en plus un enjeu fort en matière d’authentification des personnes à des fins de vérification et de sécurité. La reconnaissance de locuteurs est un sous-ensemble de la reconnaissance vocale qui, par le deep learning en lieu et place des méthodes statistiques, progresse très fortement.

Reconnaissance dépendante ou indépendante

Il existe deux types de reconnaissance de locuteur : soit par la reconnaissance dépendante du texte (Text-dependant speaker recognition), soit par la reconnaissance indépendante du texte (Text-independant speaker recognition). Dans le premier cas, l’algorithme est entrainé par des phrases pré établies et dites par un panel de locuteurs à reconnaitre. Dans le second cas, il n’y a pas d’entrainement sur une phrase spécifique, ce qui rend la méthode sans doute moins efficace.

Identification ou authentification vocale

La majorité des solutions développées en reconnaissance de locuteurs ont une objectif d’authentification, c’est-à-dire vérifier avec un niveau de doute minimal qu’une personne est bien celle qui a enregistré sa voix pour vérification. Cela répond aux besoin des entreprises de minimiser les risques de fraude (usurpation d’identité notamment) vis-à-vis de leurs clients. Maintenant ces solutions ne permettent pas reconnaitre la personne, parmi un groupe de locuteurs, qui nous a principalement adressé la parole. Dans ce cas, il s’agit de mettre en place un algorithme d’identification. L’approche est d’autant plus complexe si plusieurs personnes (locuteurs) parlent en même temps, auquel cas la méthode d’authentification vocale doit intégrer le principe de diarisation, c’est-à-dire une segmentation de l’enregistrement vocal de sorte d’obtenir des segments vocaux ne contenant si possible qu’un seul locuteur.

Python, Pyannote et DeepSpeaker

Il existe aujourd’hui une offre commerciale de solutions de reconnaissance de locuteurs (Microsoft Azure, Oxford Wave Research Vocalize …). Cela reste un domaine pour lequel beaucoup de travaux de recherche sont en cours. Pacte Novation s’est essayé à la construction d’un logiciel en s’appuyant sur le langage Python, la librairie Panda pour la gestion des données, la librairie Tensorflow de Google avec une surcouche Keras pour la construction du réseau de neurones, Pyannote.audio pour la diarisation des locuteurs et enfin DeepSpeaker, un système d’intégration de haut-parleurs neuronaux. Après 6 mois d’effort, l’algorithme de d’authentification vocale est efficace à 73%.

Nous vous proposons des solutions autour du système d’information, système expert, embarqué et édition de logiciels,  nous permettant de répondre à la plupart des exigences du marché. 

La transformation digitale du ferroviaire en pleine avancée

La transformation digitale du ferroviaire en pleine avancée

Le monde du ferroviaire révolutionné par l’automatisation des trains

Face à la montée de la demande en transports en commun et en marge de la rénovation du réseau ferroviaire en France, l’automatisation des trains devient la solution inévitable. En plus de se définir comme une solution facilitante, elle est favorisée par divers facteurs déclenchants :

  • La modernisation des systèmes
  • L’augmentation de la charge des voyageurs
  • L’extension du réseau ferroviaire

Aucun secteur n’échappe à la transformation digitale, pas même le ferroviaire…

La transformation digitale du ferroviaire : une étape inéluctable

Face aux forts afflux du trafic et à la multiplication des voies des réseaux ferrés, l’automatisation des trains, permise grâce aux logiciels ferroviaires permet de répondre à de nombreuses problématiques. Ainsi, la transformation digitale du ferroviaire marquée par son automatisation permettrait en premier lieu d’optimiser un problème récurrent et nuisant au bon fonctionnement du trafic ferroviaire : la sécurité. En effet, l’automatisation des trains permet d’améliorer la sécurité du réseau ferroviaire grâce à ses infrastructures fortifiantes (portes automatiques). Cela permet ainsi de réduire les accidents voyageurs et de ne pas en causer de nouveaux (réduire la marge d’erreur).

Ainsi, la transformation du réseau ferroviaire permet l’optimisation de la qualité des services, des économies d’énergie, de la sécurité et des performances du réseau, améliorant ainsi l’expérience des passagers.

Mais comment l’automatisation des trains améliore-t-elle la qualité du trafic ferroviaire ?

Outre ses avantages sécuritaires et écologiques, l’automatisation ferroviaire permettrait d’apporter bien des solutions pour résoudre les déficits de la gestion du réseau ferroviaire. En effet, utiliser une machine (ici, des logiciels ferroviaires : systèmes embarqués) permet d’éviter des erreurs que l’homme aurait pu commettre. Il est donc intéressant de s’appuyer sur la transformation digitale dans n’importe quel domaine pour faire avancer son activité.

Les différents facteurs optimisés par la transformation digitale du réseau ferroviaire

La SNCF épaulée par Thalès, RATP et autres grands acteurs du ferroviaire démultiplient leurs travaux dans l’automatisation des trains, voyant le grand nombre de bénéfices s’offrant à son utilisation.

Tout d’abord, l’automatisation ferroviaire permet de réaliser des économies d’échelle non négligeables. Entre les économies liées à la maintenance et celles dues à un meilleur trafic, l’automatisation se définit comme LA solution miracle pour optimiser la productivité du réseau ferroviaire.

Outre l’économie générée par cette solution, l’aspect sécuritaire demeure l’une des révolutions des trains automatisés. Entre contrôle temps réel permis grâce à des logiciels ferroviaires toujours plus innovants, limitation des incidents grâce aux portes automatisées et réduction de la marge d’erreur grâce au facteur humain effacé, les promesses des trains autonomes sont nombreuses.

Ainsi, entre gain de temps (intervalles réduits entre les trains), d’argent (augmenter l’offre quotidienne en un coût marginal faible) et fiabilité (systèmes temps réels), l’automatisation des trains devrait s’accroître de plus en plus.

En outre, en plus d’être une solution économique, ergonomique, sécuritaire et écologique pour les distributeurs de trains en France, la transformation digitale des trains sert également et principalement les usagers. De ce fait, en leur garantissant des services simplifiés, en temps réel et désintermédiés (retour à la normale en quelques minutes suite à un incident), elle leur offre une expérience de leur voyage optimale. Elle met ainsi le progrès technique au service du progrès social.

Après les métros autonomes, TER lance ses premiers trains autonomes à l’essai

Dans le même élan que la RATP et ses métros autonomes, TER Hauts-de-France se lance dans les trains autonomes. Dans le cadre d’un projet mené par la SNCF, Thalès met à l’essai ses produits en France en vue de proposer les TER autonomes d’ici 2025. De ce fait, le train Metrolinx Go circule depuis janvier en collectant des données en temps réel pour entraîner les systèmes ferroviaires à détecter les dangers et reconnaître les obstacles.

Le but final de recourir aux trains autonomes : réduction des retards, renforcement de la sécurité, amélioration de la maintenance et optimisation de l’exploitation et de la gestion du trafic.

La transformation digitale du ferroviaire n’a donc pas fini de faire parler d’elle…

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